• 03 Août

      Mima 2013, 25 ans de marionnettes

      Ce week end se déroule en Ariège un événement à vous faire regretter d’être à Paris au mois d’Août.  Sous l’implusion d’Hélène Leroux et Annie Point, la ville de Mirepoix s’attache depuis 25 ans à faire vivre un festival qui soit ambitieux . C’est manqué pour moi mais à voir la vidéo ça a l’air bien. Toutes les infos sur leur site plutôt joli. Source : Puppetring

    • 01 Août

      Super Puppet Bros

      Puppeter est sans doute le jeu PS3 le plus intriguant de l’E3 2013. Un jeu ayant pour thème les marionnettes et dans lequel on manipule les personnages en faisant des gestes,  a de quoi en faire rêver plus d’un. Voici une vidéo test d’une heure du jeu.

    • 24 Juil

      Wolverine, Le Combat du Chanteur.

      Aujourd’hui, petit cours de com’. Vous n’êtes peut être pas sans savoir que les nouvelles aventures de Wolvie sont sorties au cinéma. Pour nous préparer à l’arrivée du griffu bardu l’agence de pubeux Ubi bene n’avait rien trouvé de mieux que ça. Conclusion :  C’est pas cool, c’est moche, c’est vulgaire, pas réaliste et un rien glauquinou. Ils auraient mieux fait de prendre conseils auprès de Gloveandboots. Pour des comics plus lumineux à l’avenir. Que cela ne vous empêche pas d’aller vous goinfrer de pop-corn.

    • 22 Juil

      Trace Around Your Heart

      Si vous aimez les Histoires d’Amour compliquées autant que les marionnettes, si vous demandez ce qu’aurait pu donner Eternal Sunshine Of the Spotless Mind réalisé pas Kevin Smith ; alors vous allez adoré Trace Around Your Heart. Le réalisateur,(Ian Nolte) raconte la « true story » de Trace, une étoile filante de la folk, qui n’arrive pas se remettre de sa séparation de sa chanteurse et Amoureuse Sacha. Le tout avec la complicité de Seth Martin et ses amis. Soutenons ce genre d’initiatives. N’hésitez pas à le télécharger directement sur Vimeo. Pour ceux qui le souhaite, une version sur DVD est vente sur leur site. Et pour les plus mélomanes d’entre vous la B.O est aussi disponible.

    • 17 Juil

      C’est Superman ? C’est Hawkman ? Non ! C’est Eagleman !

      En dérivant sur le net, sans doute êtes vous tombé sur cette publicité datant de 1996. L’année, le style : pas de doute ! Nous sommes en face d’un véritable Lloyd Kaufman pur jus. Erreur. Il ne s’agit pas d’un préquel de Poultrygeist comme on pourrait le croire. Et pour en convaincre, vous pouvez voir tout le catalogue de la Troma, la boîte de de prod de Kaufman, sur sa chaîne. Mais enfin bon sang ! A qui doit ton cette oeuvre alors ? me demanderez vous. Il semblerait que ce making of apporte quelques éléments de réponse.

    • 04 Juil

      Suite et fin de mes aventures à la bienale des arts de la marionnettes. Je ne vais pas faire de mystères ; l’opéra du dragon est une petite merveille. Et pourtant l’appellation « figures marionnetique » aurait tendance à me rebuter. Il faut être honnête, plus pompeux tu meurs. Johanny Bert à été bien inspiré en reprenant en partie le Dragon d’Evguéni Schwartz. Et la troupe du théâtre de Rommette donnant vie à l’ombre menaçant le village que Lancelot à décider de libérer est époustouflante. Les acteurs posent parfois les marionnettes pour se mettre eux même en scène dans le récit. Mention spéciale Maïa Le Fourne qui non seulement est narratrice mais donne aussi leur voix aux personnages. Enfin leur grande force , c’est de jamais oublier l’optique première du spectateur : se divertir. On en prend plein les mirettes ! L’animation des marionnettes portées est réglée comme du papier à musique. Les personnages sont attachant (le chat, les hommes taupes). Les trouvailles visuelles et musicales s’enchaînent. Et voilà comment d’un récit bourré d’allégories et enjeux autant politique qu’humains pas toujours faciles à appréhender, on fait un beau spectacle. Que demande le peuple ?! (justement…) En bonus un tout petit making-of.

      Un dragon sur la BIAM

      Suite et fin de mes aventures à la bienale des arts de la marionnettes. Je ne vais pas faire de mystères ; l’opéra du dragon est une petite merveille. Et pourtant l’appellation « figures marionnetique » aurait tendance à me rebuter. Il faut être honnête, plus pompeux tu meurs. Johanny Bert à été bien inspiré en reprenant en partie le Dragon d’Evguéni Schwartz. Et la troupe du théâtre de Rommette donnant vie à l’ombre menaçant le village que Lancelot à décider de libérer est époustouflante. Les acteurs posent parfois les marionnettes pour se mettre eux même en scène dans le récit. Mention spéciale Maïa Le Fourne qui non seulement est narratrice mais donne aussi leur voix aux personnages. Enfin leur grande force , c’est de jamais oublier l’optique première du spectateur : se divertir. On en prend plein les mirettes ! L’animation des marionnettes portées est réglée comme du papier à musique. Les personnages sont attachant (le chat, les hommes taupes). Les trouvailles visuelles et musicales s’enchaînent. Et voilà comment d’un récit bourré d’allégories et enjeux autant politique qu’humains pas toujours faciles à appréhender, on fait un beau spectacle. Que demande le peuple ?! (justement…) En bonus un tout petit making-of.

    • 03 Juil

      Parions sur l’avenir, oui un jour il fera beau. De là l’importance de porter de beaux tee shirt en prévision. Threadless vous offre l’opportunité de faire la différence avec une sympathique collection aux couleurs de Sésame Street. Perso j’ai craqué pour le « The street gang » de Glen Brogan dont  j’adore le trait. Dépechez-vous il y en aura pas pour tout le monde. Source : Geek Art

      To dress like a puppet

      Parions sur l’avenir, oui un jour il fera beau. De là l’importance de porter de beaux tee shirt en prévision. Threadless vous offre l’opportunité de faire la différence avec une sympathique collection aux couleurs de Sésame Street. Perso j’ai craqué pour le « The street gang » de Glen Brogan dont  j’adore le trait. Dépechez-vous il y en aura pas pour tout le monde. Source : Geek Art

    • 18 Juin

      Alerte Enlèvement

      Dans la nuit du 3 au 4 Juin, La Compagnie Marie et Tonio s’est fait voler son matériel provisoirement stocké sur Saulx les Chartreux en Essonne. Absolument tout leur a été dérobé. Un véritable drame pour la troupe spécialisée dans la marionnette en bois sculpté qui se voit dans l’incapacité d’assurer sa tournée estivale de 15 dates. N’hésitez pas à contacter la troupe. Elles peuvent se retrouver n’importe où : un site de vente, une galerie voire même dans un autre spectacle. N’agissez pas seul les bandits sont peut être armés et dangereux.

    • 14 Juin

      A Paris en ce moment si vous lever le nez , à défaut de trouver le soleil , vous tomberez peut être sur les nouvelles affiches de Combo. Le street artiste continue le travail amorcer par sa série de photos intitulée « Hold Up ». Un gentil saccage en bon et due forme de la Culture quelle soit Populaire ou non. C’est au tour de Kermit, Elmo et les autres d’en faire les frais.

      Combo – Street (Puppet)artiste

      A Paris en ce moment si vous lever le nez , à défaut de trouver le soleil , vous tomberez peut être sur les nouvelles affiches de Combo. Le street artiste continue le travail amorcer par sa série de photos intitulée « Hold Up ». Un gentil saccage en bon et due forme de la Culture quelle soit Populaire ou non. C’est au tour de Kermit, Elmo et les autres d’en faire les frais.

    • 12 Juin

      Comment j’ai pleuré devant ma copine à cause de la BIAM

      Mathilde, La dernière création de Neville Tranter et son Stuffed Puppet theatre, présentée innocemment comme une « Tragi-comédie sur le quatrième âge, (…) met en scène résidents et personnel d’une maison de retraite » , est en vérité une véritable épreuve pour le spectateur. Ce qui en apparence devait être un spectacle sur des petits vieux parce que « c’est mystérieux », ce transforme très vite en séance SM où Neville travaille Marionnettes et public. On atteint le summum de la cruauté lors de la séparation de Lucie, une nouvelle résidente, et de son frère. L’acharnement du marionnettiste à jouer sur la corde sensible en devient même risible. Comme si l’enjeu de la pièce était de montrer que l’on peut faire pleurer avec des marionnettes… Et pour enfoncer le clou, tout cela se termine par une fin bien révoltante (comprenez qu’il est interdit de faire ça) du type : En fait tout ceci n’était qu’un rêve.