04 Juil
Suite et fin de mes aventures à la bienale des arts de la marionnettes. Je ne vais pas faire de mystères ; l’opéra du dragon est une petite merveille. Et pourtant l’appellation « figures marionnetique » aurait tendance à me rebuter. Il faut être honnête, plus pompeux tu meurs. Johanny Bert à été bien inspiré en reprenant en partie le Dragon d’Evguéni Schwartz. Et la troupe du théâtre de Rommette donnant vie à l’ombre menaçant le village que Lancelot à décider de libérer est époustouflante. Les acteurs posent parfois les marionnettes pour se mettre eux même en scène dans le récit. Mention spéciale Maïa Le Fourne qui non seulement est narratrice mais donne aussi leur voix aux personnages. Enfin leur grande force , c’est de jamais oublier l’optique première du spectateur : se divertir. On en prend plein les mirettes ! L’animation des marionnettes portées est réglée comme du papier à musique. Les personnages sont attachant (le chat, les hommes taupes). Les trouvailles visuelles et musicales s’enchaînent. Et voilà comment d’un récit bourré d’allégories et enjeux autant politique qu’humains pas toujours faciles à appréhender, on fait un beau spectacle. Que demande le peuple ?! (justement…) En bonus un tout petit making-of.

OperaDuDragon

Suite et fin de mes aventures à la bienale des arts de la marionnettes. Je ne vais pas faire de mystères ; l’opéra du dragon est une petite merveille. Et pourtant l’appellation « figures marionnetique » aurait tendance à me rebuter. Il faut être honnête, plus pompeux tu meurs. Johanny Bert à été bien inspiré en reprenant en partie le Dragon d’Evguéni Schwartz. Et la troupe du théâtre de Rommette donnant vie à l’ombre menaçant le village que Lancelot à décider de libérer est époustouflante. Les acteurs posent parfois les marionnettes pour se mettre eux même en scène dans le récit. Mention spéciale Maïa Le Fourne qui non seulement est narratrice mais donne aussi leur voix aux personnages.
Enfin leur grande force , c’est de jamais oublier l’optique première du spectateur : se divertir. On en prend plein les mirettes ! L’animation des marionnettes portées est réglée comme du papier à musique. Les personnages sont attachant (le chat, les hommes taupes). Les trouvailles visuelles et musicales s’enchaînent. Et voilà comment d’un récit bourré d’allégories et enjeux autant politique qu’humains pas toujours faciles à appréhender, on fait un beau spectacle.
Que demande le peuple ?! (justement…)

En bonus un tout petit making-of.

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