17 Mai
Parce que je suis un peu en retard sur mon plan planning de review de la BIAM. Voici une note quelque peu tronquée sur Le retour à la maison de la compagnie Yannick Pasgrismaud & Martmite Production. Est ce que j’ai eu la main heureuse ou alors cette biennale marque un changement de ton des compagnies vis à vie des sujets développés dans leurs spectacles ? Gilles Blaise et Yannick Pasgrismaud n’hésitent pas à littéralement se salir les mains pour mettre en scène le texte de Matéi Visniec. Alors que le texte est potentiellement dur, ils jouent la carte du ludique. En nous donnant à voir des Adultes/Enfants jouant à la guerre avec de la boue. Et autant vous dire que le pari est réussi. Outre la symbolique de la boue et la chair (cf : Adam, le Golem), ici chair à canon. C’est fou comme j’avais l’impression de voir Goscinny et Uderzo rejouant la scène la plus flippante des douze travaux d’Astérix, mettant avec drôlerie toute l’absurdité de la Guerre en lumière. Bref. J’ai beaucoup aimé. Si la justement la question du traitement des sujets vous intéresse, je vous invite à la table ronde intitulée « L’art de la marionette : un art de l’engagement et la transgression ?  » qui se tiendra le 20 mai au theatre au fil de l’eau.
Parce que je suis un peu en retard sur mon plan planning de review de la BIAM. Voici une note quelque peu tronquée sur Le retour à la maison de la compagnie Yannick Pasgrismaud & Martmite Production.
Est ce que j’ai eu la main heureuse ou alors cette biennale marque un changement de ton des compagnies vis à vie des sujets développés dans leurs spectacles ?

Gilles Blaise et Yannick Pasgrismaud n’hésitent pas à littéralement se salir les mains pour mettre en scène le texte de Matéi Visniec. Alors que le texte est potentiellement dur, ils jouent la carte du ludique. En nous donnant à voir des Adultes/Enfants jouant à la guerre avec de la boue. Et autant vous dire que le pari est réussi. Outre la symbolique de la boue et la chair (cf : Adam, le Golem), ici chair à canon. C’est fou comme j’avais l’impression de voir Goscinny et Uderzo rejouant la scène la plus flippante des douze travaux d’Astérix, mettant avec drôlerie toute l’absurdité de la Guerre en lumière. Bref. J’ai beaucoup aimé.
Si la justement la question du traitement des sujets vous intéresse, je vous invite à la table ronde intitulée « L’art de la marionette : un art de l’engagement et la transgression ?  » qui se tiendra le 20 mai au theatre au fil de l’eau.

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